À la question fréquemment posée sur Google est « Est-ce que trop d’oméga 6 est mauvais ? », nous répondons que c’est une matière grasse importante et nous en avons besoin, mais oui… trop en consommer peut créer des problèmes !
De plus en plus de monde utilise des huiles de cuissons en spray, des viandes faibles en gras, et suit un régime faible en graisse, et cela limitera considérablement l’apport en oméga-6.
Au niveau de l’importance, l’oméga-3 est au sommet, puis vient l’oméga-6 et l’oméga-9. L’oméga-6 ne serait pas une matière grasse essentielle si nous n’en avions pas réellement besoin et malgré la mauvaise presse qu’il reçoit il est toujours important.
Il est très bénéfique pour la santé mentale. En termes d’entrainement, c’est très important notamment pour augmenter les niveaux de motivation et se bouger du canapé vers une salle de sport.
Il est reconnu qu’il est associé à des réactions pro-inflammatoires, qui peuvent potentiellement poser problèmes… MAIS, cela n’est pas seulement dû à l’oméga-6, mais plutôt à un excès de sa consommation. Les viandes et les produits laitiers en sont pleins, et bien qu’un bon steak soit le choix de beaucoup, c’est d’autres sources que nous devrions privilégier. Pour prévenir ces réactions inflammatoires, il est essentiel de rétablir un bon équilibre dans notre ratio d’oméga. Le meilleur moyen de faire cela est de réduire notre consommation d’aliments transformés, viandes rouges, produits laitiers et fast foods.
Les meilleures sources sont :
Pour ceux qui utilise de l’huile en spray ou qui cherchent continuellement à limiter la consommation de matières grasses, il faudra se concentrer un peu plus sur une bonne sélection de sources de matières grasses. Suivre un régime alimentaire faible en matières grasses ne pose aucun problème étant donné que c’est un des meilleurs moyens d’engendrer une perte de poids (lorsque le tout est accompagné d’un déficit en calories), et pour ce type de régime le processus de sélection de sources de matières grasse sera la meilleure façon d’assurer l’apport en oméga. Ajouter un peu de graines sur ton yaourt, ou passer à des huiles de graines dans tes plats aidera à en avoir un apporter suffisant.
Pour la majorité de la population – non. Mais, si tu ne souhaites pas vraiment augmenter ta consommation de matières grasses, ou que ton régime alimentaire est très restreint en calories, alors un complément pourrait être une bonne idée ! Pour le choix du complément, opte ceux qui contiennent de l’huile de bourrache ou d’onagre.
Il est important de se souvenir que les matières grasses ne sont pas forcément mauvaises, notamment l’oméga-3 ou l’oméga-6 seulement disponibles à travers la nourriture ou les compléments consommés. Il y a d’autres types de matières grasses dont il faudra se méfier, mais l’oméga doit être considéré comme positif car il peut avoir beaucoup d’avantages sur la santé (avec le bon équilibre).
À la question fréquemment posée sur Google est « Est-ce que trop d’oméga 6 est mauvais ? », nous répondons que c’est une matière grasse importante et nous en avons besoin, mais oui… trop en consommer peut créer des problèmes !
De plus en plus de monde utilise des huiles de cuissons en spray, des viandes faibles en gras, et suit un régime faible en graisse, et cela limitera considérablement l’apport en oméga-6.
Au niveau de l’importance, l’oméga-3 est au sommet, puis vient l’oméga-6 et l’oméga-9. L’oméga-6 ne serait pas une matière grasse essentielle si nous n’en avions pas réellement besoin et malgré la mauvaise presse qu’il reçoit il est toujours important.
Il est très bénéfique pour la santé mentale. En termes d’entrainement, c’est très important notamment pour augmenter les niveaux de motivation et se bouger du canapé vers une salle de sport.
Il est reconnu qu’il est associé à des réactions pro-inflammatoires, qui peuvent potentiellement poser problèmes… MAIS, cela n’est pas seulement dû à l’oméga-6, mais plutôt à un excès de sa consommation. Les viandes et les produits laitiers en sont pleins, et bien qu’un bon steak soit le choix de beaucoup, c’est d’autres sources que nous devrions privilégier. Pour prévenir ces réactions inflammatoires, il est essentiel de rétablir un bon équilibre dans notre ratio d’oméga. Le meilleur moyen de faire cela est de réduire notre consommation d’aliments transformés, viandes rouges, produits laitiers et fast foods.
Les meilleures sources sont :
Pour ceux qui utilise de l’huile en spray ou qui cherchent continuellement à limiter la consommation de matières grasses, il faudra se concentrer un peu plus sur une bonne sélection de sources de matières grasses. Suivre un régime alimentaire faible en matières grasses ne pose aucun problème étant donné que c’est un des meilleurs moyens d’engendrer une perte de poids (lorsque le tout est accompagné d’un déficit en calories), et pour ce type de régime le processus de sélection de sources de matières grasse sera la meilleure façon d’assurer l’apport en oméga. Ajouter un peu de graines sur ton yaourt, ou passer à des huiles de graines dans tes plats aidera à en avoir un apporter suffisant.
Pour la majorité de la population – non. Mais, si tu ne souhaites pas vraiment augmenter ta consommation de matières grasses, ou que ton régime alimentaire est très restreint en calories, alors un complément pourrait être une bonne idée ! Pour le choix du complément, opte ceux qui contiennent de l’huile de bourrache ou d’onagre.
Il est important de se souvenir que les matières grasses ne sont pas forcément mauvaises, notamment l’oméga-3 ou l’oméga-6 seulement disponibles à travers la nourriture ou les compléments consommés. Il y a d’autres types de matières grasses dont il faudra se méfier, mais l’oméga doit être considéré comme positif car il peut avoir beaucoup d’avantages sur la santé (avec le bon équilibre).
Innes, J. K., & Calder, P. C. (2018). Omega-6 fatty acids and inflammation. PLEFA, 132, 41-48. doi: https://doi.org/10.1016/j.plefa.2018.03.004
Kien et al. (2013). Substituting dietary monounsaturated fat for saturated fat is associated with increased daily physical activity and resting energy expenditure and with changes in mood. The American Journal of Clinical Nutrition, 97(4), 689-697. doi: 10.3945/ajcn.112.doi: 10.3945/ajcn.112.051730051730
Makris, A., & Foster, G. D. (2012). Dietary approaches to the treatment of obesity. The Psychiatric Clinics of North America, 34(4), 813-827. doi:10.1016/j.psc.2011.08.004
Weil, A. (2007). Balancing Omega-3 and Omega-6? Retrieved from https://www.drweil.com/vitamins-supplements-herbs/vitamins/balancing-omega-3-and-omega-6/
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